Épisode Sons et Lumières S01E08 - Fringe Saison 1

MIDDLETOWN, CONNECTICUT
Il pleut à verse. Une voiture roule sur une route déserte. A  l'intérieur, se trouve un enfant assis à l'arrière écrivant des notes de musique sur une partition. Son père lui demande s'il est toujours en train d'écrire mais Ben reste silencieux. Son père veut qu'il arrête la musique mais Ben ne semble pas pouvoir. Il lui demande de ralentir la cadence des essuie-glaces, le tempo perturbe. Mais son père est désolé car il pleut trop pour les ralentir.
Sur le bord de la route, on aperçoit des phares. Une femme appelle à l'aide et elle semble avoir une panne de voiture. Ils s'arrêtent pour dépanner la jeune femme qui leur confirme la panne. L'homme sort en disant à son fils de ne pas sortir. Il appelle une dépanneuse et va ensuite jeter un œil à la panne dans le moteur de la voiture.

Il est en train d'étudier le moteur lorsque tout à coup des lumières se mettent à clignoter. Une verte puis une rouge, une autre verte puis une autre fois rouge et ainsi de suite. L'homme semble comme hypnotisé, fixant les lumières clignotantes quand tout à coup un autre homme l'interpelle. Il sursaute et s'excuse de ne pas l'avoir entendu venir. Le dépanneur s'excuse à son tour d'avoir mis autant de temps à arriver. Mais la voiture de la jeune femme a disparue et ben aussi...

GENERIQUE...

Au Bureau Fédéral
Broyles fait un topo sur la disparition de Ben Stockton à Olivia et Peter. Son père leur aurait dit que lorsqu'il regardait le moteur quelque chose s'est passé, comme un saut dans le temps. Mais il dit ne jamais avoir perdu connaissance, de toujours avoir été conscient. Il n'y a bien entendu aucun témoin.
Par contre, il y a un cas similaire qui s'est déjà produit. Broyles montre à Olivia des pièces d'un dossier en lui expliquant qu'elles proviennent des dossiers de trois affaires d'enlèvement d'il y a 10 ans. Dans chacun des dossiers, le témoin décrit à chaque fois la même femme. Cependant ils ont tenté le logiciel de reconnaissance faciale qui n'a rien donné.
À chaque fois les victimes ont été retrouvées, la première errant sur la route 91 prés de Worthampton, la seconde dans un supermarché et recroquevillée dans un frigo.
Ils ont tous un point commun : ils ne se souviennent de rien, comme lobotomisés.

Olivia remarque que les victimes sont toutes des intellectuelles : un mathématicien, un ingénieur... De ce fait un garçon de 10 ans ne correspond pas au profil d'un serial killer. Broyles fait ainsi remarquer qu'à part ça, l'enfant a disparu dans les mêmes conditions que les autres victimes.

Walter intervient alors. Des flashs lumineux particuliers ont attirés son attention. Vert, vert, vert, rouge, comme les guirlandes lumineuses de Noël !
Broyles est sidéré : comment le Dr Bishop est-il au courant ? Walter n'en sait rien, mais c'est de cette façon que cela s'est produit et Broyles le confirme ! Peter demande alors à son père s'il se souvient mais Walter ne se souvient que des guirlandes de Noël.

HIGHLAND, CONNECTICUT
Au domicile du père de Ben
Olivia interroge l'homme et sa sœur. Il essaie de faire comprendre à Olivia qu'il n'est pas fou, qu'il a bien touché la voiture, qu'ils perdent du temps pour retrouver Ben. Olivia lui dit alors qu'elle le croit et que la femme qu'il leur a décrite serait susceptible d'être impliquée dans d'autres enlèvements. Mais le père ne comprend pas qui voudrait enlever son fils et pour quelle raison. Olivia explique alors qu'il ne correspond pas au profil des autres victimes, que se sont tous des adultes et des intellectuels experts dans différents domaines. Le père regarde alors sa sœur, et fini par dire à Olivia que Ben est en quelque sorte un expert : il y a 9 mois sa femme accompagnait Ben à l'école et quelqu'un a brulé un feu rouge. Ils ont été fauchés et Abby est morte.  Les docteurs ne savaient pas si Ben allait s'en sortir. Il est resté 6 jours dans le coma et quand il s'est réveillé...

 

Il montra une vidéo de Ben jouant un morceau au piano qu'il a lui-même composé le jour où son père l'a ramené de l'hôpital. Avant ce jour il n'avait jamais pris de leçon !
Olivia les quitte en disant à sa sœur qu'elle fera tout son possible afin de retrouver Ben.

 

Dans une pièce fermée.
On voit Ben enfermé et attaché par le pied. Il est assis sur le sol, la tête entre les genoux, tapant du pied. Une télévision est en marche et une femme entre dans la pièce. Elle demande à Ben comment il se sent mais celui-ci répond qu'il veut rentrer chez lui et qu'il veut voir son père. Elle lui dit alors qu'elle a quelque chose de mieux pour lui, quelqu'un qui aimerai beaucoup le voir. Mais Ben hurle qu'il s'en moque et qu'il veut voir son père ! La femme lui répond que sa mère sera très déçue d'entendre ça ! Ben répond alors que sa mère est morte. La femme lui demande s'il en est certain ?

HARVARD UNIVERSITY
Laboratoire du Dr Bishop
Walter est en train de travailler sur des lumières vertes et rouges tout en chantant un chant de Noël. Peter lui demande s'il n'est pas un peu trop tôt pour noël mais Walter lui explique qu'il récite des chants de Noël dans l'espoir de faire émerger des détails de son subconscient qui le ferait retrouver où il a entendu parler des lumières vertes et rouges. Mais il n'a pas encore trouvé !
Par contre même s'il n'a pas encore trouvé, il a une théorie sur le fait de savoir comment Ben a été enlevé : Dans le temps, Walter avait été engagé pour travailler sur l'utilisation de flashs lumineux induisant un état d'hypnose suggestive. Ainsi en théorie les sujets feraient ce qu'il leur est demandé comme danser, aboyer, laver une voiture ! Peter demande à son père si le Gouvernement l'a fait travailler sur la suggestion mentale ? Mais Walter répond que se n'est pas le Gouvernement mais une agence de pub qui espérait programmer des flashs lumineux pendant les pubs pour que les spectateurs n'aient pas d'autres choix que d'acheter leur produit ! Mais ça leur a causé des nausées ce qui ne va pas aux gens quand ils font leurs courses !

Walter se met à hurler car il ne trouve pas sa télécommande ! Peter lui dit de se calmer et lui apporte sa télécommande et il déduit que les flashes lumineux ont mis le père en état d'hypnose durant lequel son fils a été enlevé. Peter lui rappelle que selon lui l'expérience avait échouée. Walter confirme mais lui dit également qu'il n'était concentré que sur le rythme et l'intensité des flashs et non sur les couleurs vert et rouge. Pour lui la réponse est les longueurs d'ondes ! Il demande alors à Peter de fixer les lumières de son expérience mais Peter est sceptique. Peter observe les lumières vertes et rouges au rythme vert-vert-vert-rouge et dit à son père qu'il est désolé et que ça fonctionnera la prochaine fois ! Mais nous voyons Peter avec les manches de son tee-shirt découpées... par lui-même et interpelé par Astrid qui amène le repas du déjeuner ! Peter est bluffé !

Voiture d'Olivia
Elle est en train de conduire quand Charlie lui donne la description du kidnappeur par téléphone. Elle s'appelle Joanne Ostler, elle était neurologue étudiant au M.I.T.et elle aurait eu 30 ans en mars puisque selon les services d'immatriculation, elle est morte il y a 10 ans. Sa voiture est passée par-dessus un pont en novembre 98, exactement 8 mois avant le premier enlèvement. Ce qui s'explique par le fait qu'ils ont repêché la voiture mais n'ont jamais retrouvé le corps. Ainsi, soit Broyles fait pourchasser un fantôme à Olivia, soit Joanne serait en vie...

Laboratoire du Dr Bishop
Walter chante 'Jingle Bells' tout en dansant à travers son labo sous les yeux d'Astrid  et Peter. Olivia entre en demandant ce qu'il fait mais Astrid lui dit que ça l'aide à se souvenir qui lui a parlé des lumières rouges et vertes ! Ce qui est une bonne nouvelle. Peter lui explique alors qu'ils pensent avoir trouvé comment le petit Ben a été enlevé (les lumières, l'hypnose du père) et Olivia lui apprend aussi qu'ils pensent avoir identifié la femme responsable.

Walter hurle qu'il a réussi à se rappeler grâce à Noël, « Jingle Bells » le menant directement à la neige et donc forcément à Dash ! Dashiell Kim l'homme qui lui a parlé des lumières et qui se trouve actuellement à Ste Claire ! Sacré Walter...

Au Bureau Fédéral
Olivia annonce à Broyles l'identification d'une autre victime, Dashiell Kim porté disparu en mai 2006 et revenu chez lui une semaine plus tard à Clarksburg, où il a eu une crise psychotique et battu sa femme à mort avec une massue. Elle lui raconte alors que lorsque Walter était à Ste Claire, il se rappela alors que Dashiell lui racontait l'histoire d'une femme qui l'a endormi avec un sapin de Noël, puis qui l'a emmené. Broyles et Olivia font alors la liaison : des lumières rouges et vertes ainsi que le profil de l'homme, expert dans un domaine scientifique ! Elle demande alors à Broyles une demande légale d'interrogatoire, Kim pourrait se souvenir d'un détail sur son enlèvement comme l'endroit où il a été retenu.
Broyles dit à Olivia que c'est quelque chose qui risque de prendre du temps puisque c'est un patient 1027 : folie criminelle et connaissances de secret d'Etat ! Kim travaillait occasionnellement pour la Défense ! La demande devra obligatoirement être officielle, c'est-à-dire qu'elle devrait prendre minimum 6 semaines ! Mais Broyles a un contact à la Justice, il lui dira que c'est urgent !

Pendant ce temps un fax arrive... une photo de la scène de crime de la femme de Dashiell Kim !

Dans un long couloir au sous-sol
la femme emmène Ben le long de ce couloir, qui mène à une pièce délabrée dans laquelle se trouve un piano et des partitions accrochées aux murs. Ben observe la pièce, les partitions. La femme lui demande s'il avait déjà regardé dans cet ordre les partitions ? Ben répond que non et à ce moment précis il se retourne et voit sa mère lui disant bonjour ! Elle va jusqu'à le prendre dans ses bras !

Laboratoire du Dr Bishop
Peter a du mal à se rendre compte du fait qu'un homme ai pu faire ça à sa propre femme. Olivia confirme en ajoutant qu'ils étaient mariés depuis 32 ans et que tout les disait heureux.
Walter entend que les deux jeunes gens parlent de son ami Dashiell, il regarde alors la photo et affirme qu'il reconnaît là son travail ! En effet il a tenté de tuer un patient, Jasper, quand il était à Ste Claire mais Walter parle de son équation ! Dashiell était obsédé par ça car il n'arrivait pas à la résoudre !
Olivia semble penser à quelque chose en écoutant Ben jouer du piano sur la vidéo et Peter lui demande alors à quoi exactement ? Le père de Ben a dit qu'il était devenu obsédé par ce morceau qu'il composait car il n'arrivait pas à le terminer ! Peter fait alors le lien entre l'équation, une fonction qui se répète, et la musique, un rythme. Peter demande à Walter de convertir alors l'équation en notes de musique, Peter se met à jouer et c'est la chanson de Ben qui en ressort ! Par contre ils ne se sont jamais rencontrés ! Mais selon Walter les esprits curieux convergent souvent vers la même idée. Mais la question est qu'est-ce que Ben et Dashiell essayent de résoudre ?

Dans la pièce délabrée
Ben demande à sa mère s'ils sont au paradis mais elle lui répond que non. Mais Ben ne comprend pas, il a vu sa mère blessée ! Elle lui dit qu'elle non plus ne comprend pas mais pour qu'elle reste avec lui il va devoir faire ce que cette femme lui dit, autrement dit, il va devoir finir la chanson. Ben est d'accord.

Hôpital Ste Claire
Olivia est reçu par le Dr Sumner. Il se demande en quoi Dashiell Kim peut aider le FBI. Olivia lui explique. Mais il reconnaît Olivia, c'est l'agent qui a emmené le Dr Walter Bishop il y a trois mois. Elle confirme et dit qu'il va plutôt bien et les aide dans leurs enquêtes. Le Dr Sumner n'approuve pas l'existence de Bishop parmi les autres et refuse à Olivia le droit de parler à Dashiell car il ne peut pas être confronté à de nouveaux visages. Olivia joue alors la carte émotion, la vie d'un enfant est en jeu ! Le Dr Sumner lui dit alors qu'il y a surement un moyen de s'arranger : si le Dr Bishop se porte bien comme elle l'affirme, il l'autorise à parler à M. Kim !

Laboratoire du Dr Bishop
Peter n'est pas d'accord avec le fait que Walter retourne à Ste Claire. Olivia insiste en disant que c'est la seule solution. Walter intervient calmement en disant qu'il avait remarqué que Peter parlait toujours de lui comme s'il n'était pas dans la pièce. Il demande alors si quelqu'un s'intéresse à ce qu'il pense ? En effet Peter confirme et lui demande ce qu'il veut faire ? Walter ne préfèrerait pas y aller. Olivia insiste mais Peter l'interrompt en disant qu'il a dit non. Walter insiste en disant qu'il a dit qu'il préfèrerait ne pas y aller mais il ira pour la vie de ce garçon.

Voiture d'Olivia
Assis à l'arrière, Walter est inquiet. Ils arrivent à l'Hôpital, Peter signent les papiers, Walter entre à Ste Claire !

Le Dr Sumner les accueille. Walter est très nerveux à la vue de celui-ci. Il s'écarte sèchement même lorsque le Dr lui pose la main sur l'épaule. Walter passera les grilles seul, Peter et Olivia l'attendront en lui souhaitant bonne chance !

Salle de repos de l'Hôpital
Des malades reconnaissent Walter et lui disent qu'ils sont contents de le revoir. Mais Walter leur rappelle qu'il ne restera pas ! Sumner lui dit qu'il a 10 minutes...
Il rejoint Dashiell assis dans la pénombre, fixant l'horizon dans le vide.

Dashiell reconnaît Walter après quelques instants lui disant qu'il semble différent. Walter lui dit alors qu'en effet c'est la barbe ! Pour engager la conversation, il lui parle de son traitement, fait quelques blagues sur les médecins, ce qui a l'air de faire réagir Dashiell puisqu'il répond à Walter en s'éclaffant que ses blagues lui manquent ! Walter en profite pour lui dire que lui ses histoires lui manquent, en particulier celle de la femme qui l'a enlevé, avec les lumières vertes et rouges. Bien joué Walter ! Il insiste pour connaître le lieu de l'enlèvement mais Dashiell lui répond qu'il doit faire erreur, qu'il doit le prendre pour une autre personne. Il demande à Walter de le laisser en paix, il souhaite terminer son pudding seul.
Walter se lève et va voir un malade assis un peu plus loin. Il lui empreinte un crayon puis reviens voir Dashiell. Il commence à écrire l'équation sur la table devant eux en lui demandant s'il essaye toujours de la résoudre ? On sent bien que Dashiell lutte pour ne pas céder mais Walter insiste encore et créé une panique générale lorsque son compagnon se met à hurler ! Dans la folie générale Walter devient agressif et fini par se faire sédater, ce qui énerve quelque peu Peter lorsqu'il l'apprend ! Sumner souhaite même garder Walter après ce qu'il a fait à M. Kim et après avoir entendu de sa bouche ce qu'il faisait maintenant avec le FBI! Selon Sumner, tout ceci n'est pas bon pour sa santé ! Peter n'est pas de cet avis, au contraire et Olivia ira jusqu'à menacer Sumner d'un ordre du juge, puisque Walter les aide à la résolution d'une affaire criminelle et en refusant de le laisser sortir, il fait obstruction à celle-ci.
Sumner ne se démonte pas, il demande le document...

La nuit, Walter est seul dans sa chambre d'isolement et tente de s'endormir. Il chante pour cela, mais en vainc, il est trop nerveux. Une personne entre dans sa chambre lui souhaitant bon retour... elle s'assoie au pied de son lit, c'est Walter lui-même qui se trouve à côté de lui-même... Il retombe dans la folie !

Building Fédéral
Tout le monde s'affaire à retrouver la trace du petit garçon en même temps qu'Olivia s'assure que tout est mis en œuvre pour la libération de Dr Bishop qui apparemment ne se fera que le lendemain matin. Peter est inquiet et Olivia s'excuse de ne pas pouvoir faire plus. Mais selon Peter c'était le choix de Walter ! Elle lui dit de rentrer dormir, qu'au moins un d'entre eux se repose mais Peter essai de trouver d'autres pistes concernant la femme qui est à l'origine de ces enlèvements. Ils en arrivent à la piste des anagrammes en ce qui concerne les noms de gens qui ne veulent pas être retrouvés. Peter connaît ce procédé pour l'avoir lui-même déjà utilisé ! Ce qui ne surprend pas Olivia ! Ainsi, il se met à chercher les solutions sur le moteur de recherche et... une certaine Joanne Ritz est enregistrée à Clarksburg, un profil anonyme et une boîte postale !

Dans la pièce délabrée
Ben joue du piano à sa mère mais il s'arrête encore au même endroit de la partition. La femme lui demande alors ce qu'il se passe mais Ben n'arrive pas à voir la suite. Alors que sa mère le rasure Ben se remet à jouer mais il ne sait pas la finir ! La mère de Ben est peu à peu blessé, on voit son visage se couvrir de bleus, la femme lui répond que ça dépend de Ben mais sa mère continu de mourir !

Hôpital Ste Claire
Dr Bishop tente d'avoir une discussion avec Dashiell. Il s'excuse de l'avoir énervé la veille mais Dashiell lui demande de partir. Walter insiste encore en lui expliquant qu'un petit garçon est en danger de mort et qu'ils sont son seul espoir. La discussion n'aboutit pas jusqu'à ce que Walter dise que si Dashiell ne lui dit pas l'endroit où il a été enlevé, l'enfant finira comme eux ! Alors Dashiell se confie : tout était beau, elle lui a promis les choses qu'il voulait le plus. Mais quand il n'a pas pu résoudre l'équation, il lui a tout repris ! Rien n'était réel, elle lui a fait mal ! Il se souvient qu'elle l'a mis dans un donjon, elle a repli son esprit d'images de gens qu'il aimait puis elle les torturait en les éventrant tout en espérant lui arracher les réponse qu'elle voulait ! Mais il n'a jamais pu lui donner ce qu'elle voulait ! Dashiell éclata en sanglot et Walter lui redemanda où était l'endroit ? Il lui répond à nouveau dans un donjon ! Un donjon dans un château rouge...

Dans les couloirs Peter est venu chercher Walter. Celui-ci se faisant sermonner par Sumner sur la précocité de la sortir de Walter. Mais Peter n'est pas dupe : il pense son père plus en sécurité avec lui qu'avec ce médecin ! Sumner en doute à la vue du dossier de Peter qui semble ne pas être fiable. Il souhaite demander le retrait des droits de tuteur de Walter mais  Peter lui répond que s'il connaît Walter, il ne sait pas de quoi lui est capable ! Il souhaite voir immédiatement son père...

Walter attend Peter en salle des visites. Il affirme à son fils qu'il souhaite partir maintenant. Selon lui, il a échoué, Dashiell ne parlant que de donjons et de châteaux rouges ! Il demande à son fils si cela ressemble à ça de parler avec lui ? Peter avec compassion, lui dit qu'ils rentrent à la maison maintenant.

CLARKSBURG, MASSACHUSETTS
Olivia et Charlie font du porte à porte afin d'interroger le voisinage pour savoir s'ils auraient aperçu Ben. Mais en vainc. Le téléphone d'Olivia sonne, c'est Peter qui  lui raconte que Walter est sorti et que tout ceci s'est traduit pas un échec. Dashiell n'a fait que parler de donjon et châteaux rouges ! A ce moment là, Olivia aperçoit un château rouge ! (un des symboles, la pomme, est intégré entre deux scènes).

Charlie et Olivia entrent dans le bâtiment ressemblant à un château rouge. Ils trouvent une trappe par laquelle ils entrent, passent par une porte, traversent un long couloir obscure, puis se séparent. Olivia entre dans des pièces au fur et à mesure, jusqu'à trouver celle où Ben est tenu prisonnier. Elle le débranche des appareils, s'inquiète de sa santé mais derrière elle, la femme l'attaque. Olivia se défend, elles se battent violemment jusqu'à ce que la femme s'enfuit. Olivia lui court après avec son arme, la rattrape et la menace de tirer si elle ne stoppe pas sa course. Ce qu'elle fait, elle met ses mains en l'air et appui sur une télécommande qui active une alternance de lumières rouge puis verte et ainsi de suite ! Olivia se fait surprendre par Charlie qui la fait sursauter en s'approchant d'elle : Olivia a été hypnotisée !

Chambre d'Hôtel des Bishop
Walter est ravi de rentrer chez eux mais il annonce fermement à son fils qu'ils ont besoin d'espace, que la chambre devient trop exigüe. Il lui dit alors qu'il est prêt à avoir sa propre chambre ! Peter est d'accord, il parlera demain à Olivia pour avoir une chambre sur le Campus. Il en profite pour le féliciter car il a été courageux de faire ce qu'il a fait, retourner à l'Hôpital. Walter est touché et le remercie.

Un entrepôt
L'agent Mitchell Loeb ouvre la porte à une voiture qui entre. La femme qui a enlevé Ben en sort ! Elle lui donne un dossier en lui disant qu'elle a réussi à avoir ce qu'il voulait. Maintenant il reste à savoir si cela fonctionne.

Mitchell s'approche d'un coffre sur lequel une pomme est placée. Il prépare une expérience et place la pomme à l'intérieur. Il lui demande l'équation et lance l'expérience. Il entre son bras dans le coffre qui semble fondre et récupère la pomme qui est indemne. L'expérience a fonctionné ! La femme est sidérée et Mitchell la tue de sang froid d'un coup de feu. Il appel quelqu'un au téléphone en disant que ça a marché !

Bureau Fédéral
Ben a été retrouvé sain et sauf. Olivia se charge de lui jusqu'à l'arrivée de son père qui est soulagé de retrouver son fils. Les retrouvailles se font sous les yeux d'Olivia et Broyles, qui les laissent tranquilles. Olivia souhaite appeler Walter et Peter, après ce que Walter a vécu aujourd'hui, il sera content de savoir que Ben va bien.

Broyles la félicite, Olivia est fière de son travail !

 

Le script provient du site : FRINGEPEDIA

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Route 12 near Middletown, CT

JEREMY STOCKTON: Are those notes you're writing Ben? I thought we talked about this. You know about taking a break from the music so you'd have time for other things. Maybe something new.

BEN STOCKTON: Dad don't get mad at me, but the windshield wipers, can you slow them down?

JEREMY STOCKTON: Slow them down?

BEN STOCKTON: The tempo. It's messing me up.

JEREMY STOCKTON: Sorry Bean, I can't. I need to be able to see.

JOANNE OSTLER: Stop, I need help.

BEN STOCKTON: What is it?

JEREMY STOCKTON: Don't know. Let's see. (to Joanne Ostler) You okay?

JOANNE OSTLER: Oh I'm fine. I can't say the same for my car. It kind of shuddered and then stopped. And my phone's dead.

JEREMY STOCKTON: Oh hold on. Be right back.

JOANNE OSTLER: Thank you.

JEREMY STOCKTON: Of course. It's not a night you wanna get stuck out here.

JOANNE OSTLER: Yeah I need a tow.

JEREMY STOCKTON: (on cell phone) I'm on Route 12 About two miles north of Fair Oak. Yeah, Massachusetts plate, 332 EWD (to Joanne): Ah, they're busy. It's gonna be a while.

JOANNE OSTLER: Then I definitely am not gonna make it to this business meeting, which would normally be a blessing but this one's really important.

JEREMY STOCKTON: Listen I-I know hardly a thing about cars. But why don't you let me take a look?

JOANNE OSTLER: No no you've done enough. No. That's alright.

JEREMY STOCKTON: Transmission's dry. Some kind of electrical short.

TOW TRUCK DRIVER: Hey easy. Didn't mean to scare you.

JEREMY STOCKTON: It's okay. I didn't hear you.

TOW TRUCK DRIVER: Yeah listen sorry it took so long. Man you okay?

JEREMY STOCKTON: Where's her car? Ben. Ben? Ben!

ACT I

Federal Building - Briefing the Science Team

BROYLES: The boy's name is Ben Stockton. According to his father they were driving home from a school function last night when he saw a woman having car trouble. The father claims that while he was looking at the woman's car something happened. He said it was like time jumped. And his son the woman and her car were suddenly gone.

OLIVIA: So he just blacked out?

BROYLES: In the statement he gave police he insisted he never lost consciousness.

OLIVIA: So any other witnesses to back up the dad's story?

BROYLES: No but this is not the first time this has happened. These are from the files of three other missing person cases dating back ten years. In each one witnesses describe seeing the same woman. We've tried running facial recognition software. Nothing.

OLIVIA: So what happened to the other victims?

BROYLES: The first was found wandering the shoulder of I-91 Near North Hampton. The second in the supermarket curled up in the freezer bin.

OLIVIA: Meaning what? They were let go?

BROYLES: Apparently. But not before whatever'd been done to them drove them insane. Two weeks after she was found one of the victims actually tried to lobotomize herself using a butter knife. And all of them completely incapable of recalling what happened during the abduction. Even under hypnosis.

OLIVIA: (reviewing case files) So they're all academics. A probability theorist, structural engineer... If we're looking at a serial abduction, then a ten-year-old kid really doesn't fit the bill.

BROYLES: No, but other than that the details surrounding his disappearance are identical to the others. Interacting with the woman in the sketch, then experiencing an interval of lost time.

WALTER: Peculiar flashing lights. Green, green, green, red. Like Christmas lights.

BROYLES: How did you know that Dr. Bishop?

WALTER: I don't know. But that's what happened. Isn't it?

BROYLES: Yes.

PETER: Think you might be able to jog your mind Walter? Could be kind of helpful.

WALTER: Christmas lights. That's all I can recall. Sorry.

The Stockton House - Highland, CT

JEREMY STOCKTON: I know what it sounds like. Like I'm crazy. I'm not. I talked to her. I touched her car.

MAUREEN STOCKTON: ...police grilled my brother for hours. They treated him like a suspect.

JEREMY STOCKTON: I know what I saw. She was real.

MAUREEN STOCKTON: Why doesn't anyone believe him?

JEREMY STOCKTON: You're wasting time. We need to find Ben.

OLIVIA: Yeah I believe you. In fact we think that the same woman may be involved in a number of other abductions. This has happened before.

JEREMY STOCKTON: Why would anyone want to take my son?

OLIVIA: I don't know. Honestly, he doesn't really fit the profile of the other victims. For one, they were all adults. And another, they were all academics - experts in various fields.

JEREMY STOCKTON: What? Ben is kind of an expert himself.

OLIVIA: What do you mean?

JEREMY STOCKTON: Nine months ago, my wife was walking Ben to school. Some idiot late for a dentist appointment ran a red light. And they were hit in the crosswalk. Abby was killed. The doctors told me they didn't know if Ben was gonna make it either. He was in a coma for six days. And when he woke up... it's easier if I just show you. (starts a recording of Ben on the TV) This is the day I took him home from the hospital. He hadn't spoken, said even a word - since I told him his mother died... and we got home, and he just sat down at the piano and started to play.

OLIVIA: He's very talented.

JEREMY STOCKTON: Before this, he had never taken a single lesson. His doctors told me there had been other cases - people with severe brain traumas waking up with the ability to do things they'd never done before. Two weeks later, he was composing his own music. One piece in particular. He stopped being interested in everything else.

MAUREEN STOCKTON: You said the other people that had been taken were accomplished at something. Do you think that that's why they took ben?

OLIVIA: I don't know.

(the two women speak separately as Olivia prepares to depart)

OLIVIA: Thank you so much for your time.

MAUREEN STOCKTON: Uh, Agent Dunham.... After Abby died, my brother...he barely held it together. Without Ben, I don't think he'll make it.

OLIVIA: I'll do everything I can.

MAUREEN STOCKTON: (nods in thanks)

In a Dungeon-like Basement

(Ben sits in the corner of the the room, Ostler enters)

JOANNE OSTLER: How are you feeling Ben?

BEN STOCKTON: I wanna go home. I just wanna see my dad.

JOANNE OSTLER: Oh, well - I have something better for you. There's someone else here who would very much like to see you.

BEN STOCKTON: I don't care! I wanna see my dad!

JOANNE OSTLER: Well your mother will be very disappointed to hear that.

BEN STOCKTON: My mom's dead.

JOANNE OSTLER: Are you sure about that?

Walter's Lab - Trying to Remember

(under his breath, Walter sings a holiday tune)

PETER: Hey, Walter. Don't you think it's a little early in the season For the yuletide cheer?

WALTER: I'm reciting Christmas carols in an attempt to jar loose some details from my subconscious to remember where I heard mention of the green and red lights. But sadly it hasn't yet worked.

PETER: So you thought it would be more useful to work on your Christmas tree decorations?

WALTER: Though I - I cannot recall where I heard of the lights, it did give me an idea, a theory as to how the boy was taken. I was hired to design a technology, an intricate pattern of flashing lights intended to create a suggestible state of hypnosis. Theoretically the test subjects will do whatever commanded. Bark like a dog, dance a jig, wash the car.

PETER: The U.S. Government had you working on mind control?

WALTER: Not the government. It was an advertising agency. They hoped to broadcast the flashing lights during commercials so that the viewers would have no choice but to buy their products. Unfortunately, it merely caused nausea. Which was unfortunate because apparently, people don't like to shop when they feel like they're going to throw up. (to Astrid) Miss! Where is the remote?

PETER: Oh, hey, Walter, Walter. Walter, dial it down a notch all right?(handing over the remote)

WALTER: (to Peter) I posit that the flashing lights witnessed by the father induced a hypnagogic trance during which stage the child was abducted.

PETER: I thought you said the experiments were failures.

WALTER: Oh yes. But I focused solely on the timing and intensity of the flashes not the colors - the green and red. Now I suggest that those wavelengths are the key to success. Come. Let me demonstrate. Come.

PETER: What do you want me to do?

WALTER: Just stare at the lights.

PETER: (stares at the lights) Sorry Walter. Better luck next time.

ASTRID: (coming into the lab much later) Anyone ready for lunch? What's up, Chachi?

PETER: (looks at missing sleeves) Did you do this to me?

WALTER: You did.

Driving to Walter's Lab

OLIVIA: (answers phone) Dunham.

CHARLIE: It's me. Based on the description by the father, I I.D.'d your kidnapper. Name is Joanne Ostler. She was a neurologist studying at M.I.T. She would have been thirty this March.

OLIVIA: What do you mean, would have been?

CHARLIE: Uh, according to DMV Department of Records, Joanne Ostler died ten years ago.

OLIVIA: Are you sure it's the same woman?

CHARLIE: Looks identical to the woman from your sketch, and she doesn't have a twin because I checked.

OLIVIA: So what happened to her?

CHARLIE: Apparently, her car went off a bridge in November of '98. Eight months before any of the abductions.

OLIVIA: How is that even possible?

CHARLIE: Here's the thing. The car was recovered but her body was never found.

OLIVIA: So then it's possible that she survived.

CHARLIE: Either that or Broyles has you chasing a ghost.

Walter's Lab - Remembering Dash

(Walter sings more holiday tunes)

OLIVIA: Hey. What the hell is he doing?

PETER: He thinks it'll help him remember where he's heard about the red and green lights.

OLIVIA: Okay. We've got good news. We think we understand how it was that Ben was abducted. Those red and green flashing lights. They put the father into a hypnagogic state. And we think we may have I.D.'d the woman responsible.

WALTER: I have it! Christmas. Christmas. Leading to Christmas carols. One of which is Jingle Bells, which leads naturally to Dashing Through The Snow. Which of course inevitably leads one to Dash.

PETER: To Dash?

WALTER: Dashiell Kim. The man who mentioned the lights to me. I'm sure of it.

OLIVIA: Where is he Walter? Can we talk to him?

WALTER: I guess that would depend on whether he has succeeded in killing himself or not.

PETER: What are you talking about, Walter? Who is this guy?

WALTER: A fellow inmate of mine at St. Claire's asylum.

Broyles' Office

OLIVIA: I think we may have I.D.'d another abductee. Dashiell Kim. Headed up Astrophysics at U Mass. Went missing in May 2006. Turned up a week later at his home outside Clarksburg, where he had a psychotic break. Bludgeoned his wife to death with a tire iron. He was committed to St. Claire's hospital.

BROYLES: He was there at the same time as Dr. Bishop?

OLIVIA: Walter Bishop claims he remembers Kim telling him a story about a woman who put him to sleep with a Christmas tree and then took him away.

BROYLES: Green and red lights.

OLIVIA: And he fits the profile. Expert in a scientific field. But I need you to get an interview request pushed through legal so we can arrange a visitation. Any specific things that Kim might remember about the abduction, like where he was taken maybe.

BROYLES: That might take some time.

OLIVIA: How come?

BROYLES: Says here Dashiell Kim is a 10-27.

OLIVIA: Yeah what's that?

BROYLES: 10-27... Criminally Insane... with knowledge of state secrets. Apparently Kim had a sideline consulting the defense contract for JPL. You can't get in to talk to him without official clearance.

OLIVIA: And how long will that take?

BROYLES: If we go through channels, six weeks - minimum. I've got a contact at Justice. I'll tell him it's urgent. (takes a fax from the machine) I don't know how a guy that could do this to his own wife is gonna help you find a missing kid.

Ben Gets a Visitor in the Basement

JOANNE OSTLER: You've never looked at it in that order have you?

BEN STOCKTON: No.

ABBY STOCKTON: Hi, Bean.

BEN STOCKTON: Mom?

ACT II

Walter's Lab - of Numbers and Music

PETER: He did this to his own wife?

OLIVIA: 32 years of marriage. By all accounts they seemed happy... until Dashiell showed up after he was abducted, and beat her to death.

WALTER: (looks at photo) Did I hear mention of my old friend Dashiell? Of course, I'd recognize his handiwork anywhere.

OLIVIA: You mean he killed others?

WALTER: Well he tried - a patient at the institution - Jasper, but actually I was referring to the equation. Dashiell was obsessed with it.

OLIVIA: Obsessed in what way?

WALTER: He couldn't complete it. I tried to help him solve it once and he came at me with a plastic spork.

(watching a recording of Ben on piano)

PETER: What are you thinking?

OLIVIA: You know Ben's father said that Ben became obsessed with this one piece of music and he couldn't complete it either.

WALTER: I've been listening to it. It's very beautiful. He's light years ahead of where even you were at that age.

PETER: Walter, take a look at this. See this function? It appears here... here... here - it just keeps on repeating over and over.

WALTER: Yes yes it's a recurring expression.

PETER: Or it's a rhythm.

WALTER: Well yes I suppose. Are you suggesting--

PETER: Can you convert that into standard musical notation?

WALTER: Oh-oh-oh I can try.

OLIVIA: What's going on?

PETER: Music is a mathematical language. Chords have numerical values and their notes - 1/4s 1/8s 1/16s - they're all just fraction variables.

OLIVIA: Okay I took the oboe for six months and then quit.

(after converting the notes to mathematic notation)

WALTER: Almost there Peter. That's nine bars.

PETER: Okay listen to this. Sound familiar?

OLIVIA: That's Ben's song.

WALTER: Yes. Ben's piece is the musical equivalent of Dashiell's mathematical formula.

PETER: So how is that possible? They'd never even met each other.

WALTER: It's not so surprising actually. Curious minds often converge on the same idea. Newton and Leibniz independently, without knowing each other, invented calculus. The relevant question is what is it?

OLIVIA: What is what?

PETER: What is it that both Ben and Dashiell are trying to solve?

Ben Gets a Hug in the Basement

BEN STOCKTON: How is this possible? Are we in heaven?

ABBY STOCKTON: No, honey, we're not in heaven.

BEN STOCKTON: But I don't understand. I saw you get hurt.

ABBY STOCKTON: I don't understand either. But I do know that I'm here. And I've missed you so much, Bean. For me to stay you have to do what this woman says. You have to finish the song, Bean. You need to finish it. It's important, Ben.

BEN STOCKTON: Okay. I love you, Mom.

ABBY STOCKTON: I love you, too, Bean.

(they hug tightly)

St. Claire's - Sumner's Office

OLIVIA: Dr. Sumner.

BRUCE SUMNER: Hello.

OLIVIA: Thank you so much for taking the time to speak with me.

BRUCE SUMNER: I understand you're interested in talking to one of my patients, although I - I can't imagine what help Dashiell Kim could be to the FBI.

OLIVIA: We're investigating a missing persons case - a kidnapping, and we believe that before coming here Mr. Kim may have been the victim of an abduction himself, possibly by the same person that we're looking for.

BRUCE SUMNER: I suppose you came by this information through a former patient of mine, Dr. Walter Bishop? You're the agent who took him three months ago, aren't you?

OLIVIA: Yes, and you should know Dr. Bishop is doing quite well. He's been assisting us since he checked out.

BRUCE SUMNER: He has no business being out among the rest of us.

OLIVIA: Well, I appreciate your concern but I'm not here to talk about Dr. Bishop.

BRUCE SUMNER: I respect your discretion, provided you respect mine. The mental health of my patients is my primary concern and subjecting them to open-ended interrogations by FBI agents is hardly prudent therapy. I appreciate your position. And I'd like to help, but I can't subject Dashiell to new faces right now.

OLIVIA: Dr. Sumner I'm here because a child's life may be in danger.

BRUCE SUMNER: There may be a way we can work this out.

OLIVIA: I'm listening.

BRUCE SUMNER: You've assured me that Walter Bishop is doing fine. If that's the case, I'll allow Walter Bishop to talk to Mr. Kim and ask your questions. It might do Dashiell good to see a familiar face.

Walter' Lab - Tough Decision

PETER: Olivia, there is nothing to discuss.

OLIVIA: But it's the only way we can make contact with Dashiell Kim.

PETER: Absolutely not.

OLIVIA: ...Peter.

PETER: You want to send my already mentally unstable father back to the institution that made him that way?

OLIVIA: We don't have a choice. We need to speak to Dashiell, and without Sumner's permission, we need a subpoena, which is going to take time.

PETER: Even if he speaks to Dashiell, what makes you think he's gonna remember a word that he says? The man can't even remember what he had for lunch.

WALTER: I have noticed that you have a habit of referring to me as if I'm not in the room. Does anyone care what I think?

PETER: Yes, Walter. What do you want to do?

WALTER: I'd rather not go.

OLIVIA: Walter...

PETER: Olivia, he said no.

WALTER: That is incorrect. I said, "I'd rather not go," but I will. Every moment that passes is another moment that little boy's life is in danger. Isn't that...correct, Agent Dunham?

OLIVIA: Um-huh.

WALTER: Then we should go.

(Peter looks very unhappy)

St. Claire's - Reception

(Peter finishes signing a stack of papers)

BRUCE SUMNER: Well, are you ready?

PETER: When you get out, we'll be right here.

OLIVIA: Good luck, Walter.

BRUCE SUMNER: Come with me.

(Walter looks anxious as he walks down the corridor)

ACT III

St. Claire's - Activity Room

WALTER: (to unidentified patient) I'm sorry. I'm sorry. I can't help you.

(a familiar orderly apporaoches)

FRANK: Dr. Bishop, how you been?

WALTER: You know I'm not really back.

FRANK: Yeah, well, it's nice to see you anyway.

BRUCE SUMNER: You have ten minutes, Walter.

(walks across room and sits next to friend)

WALTER: Dashiell, it's me, Walter, Walter Bishop.

DASHIELL KIM: Walter? You look different.

WALTER: It's the beard. And you look different too somehow. That smile. Have they altered your medication? Wouldn't surprise me. These medieval quacks are more proficient at phrenology than psychopharmacology.

DASHIELL KIM: I miss your jokes, Walter.

WALTER: And I miss your stories. The one about the woman who took you away with the green and red lights. Dashiell, look at me. This is important. The woman, where exactly did she take you?

DASHIELL KIM: I'm sorry. I don't know what you're referring to. You must be mistaking me for someone else. Now, if you'll excuse me, I want to sit here and finish my butterscotch pudding in peace.

WALTER: You were always trying to solve it, huh? Yes.

DASHIELL KIM: I don't do math anymore, Walter. Mathematical formulations are not conducive to my mental stability.

WALTER: That's fine, but if you recognize the equation, do you not remember the woman with the red and green lights where she--

DASHIELL KIM: I don't do math anymore!

(disruption in background)

WALTER: You used to tell me the story all the time.

DASHIELL KIM: No!

WALTER: You used to drive me crazy.

DASHIELL KIM: I don't do math anymore. I don't care about math.

(the orderlies intercept the duo)

FRANK: Dr. Bishop.

WALTER: No, I need to know where she took you, damn it.

BRUCE SUMNER: That's enough! It's time to go.

WALTER: Where is she?

FRANK THE ORDERLY: I've got him.

WALTER: Please, Dashiell, it's only --

(Sumner injects Walter)

St. Claire's - Return to Sumner's Office

PETER: What do you mean you sedated him? Walter is legally in my custody. You have no right to keep him here.

BRUCE SUMNER: Not only do I have every right to hold him, I have a responsibility to hold him. He accosted Mr. Kim. If I release him and something else happens...

OLIVIA: I can assure you that's not going to happen. He's under our supervision.

BRUCE SUMNER: Perhaps that's what compounded the problem.

PETER: Meaning what?

BRUCE SUMNER: I had some time to talk to Dr. Bishop after he calmed down about his work assisting you and it is clear that exposing him to the pressures of criminal investigations while indulging his fantastical pseudo-scientific notions has exacerbated the worst features of his mental illness.

PETER: Really?

BRUCE SUMNER: Really.

PETER: 'Cause after some of the things I've seen in the last three months, Walter strikes me as being one of the sanest people I know.

BRUCE SUMNER: Is that so?

OLIVIA: I'm gonna make this really simple, Dr. Sumner, Walter Bishop is assisting us in a criminal investigation which you are currently obstructing. So either you release him into our custody, or I will get a court order.

BRUCE SUMNER: You go get your court order then.

St. Claire's - Walter's Room

(Walter lies in bed whimpering when a visitor enters his room abd sits at the foot of his bed)

OTHER WALTER: (to Walter) Welcome back, Walter.

ACT IV

Federal Building - Chasing Tips

OLIVIA: Where are we on that tip from Rochester?

CHARLIE: Local agents are heading to the convenience store where they saw the boy. They're hoping video surveillance can confirm it really was Ben Stockton.

OLIVIA: Okay, well have we set up checkpoints?

CHARLIE: No they're working on it. So far nothing.

ND AGENT #3: I have the general counsel's office on the phone. It's about Dr. Bishop.

OLIVIA: (on telephone) This is Agent Dunham... No, I wanted you to work around the protocol... Please, I need your help... I need to get Bishop out... Okay 7:00 a.m....Thank you.

PETER: What was that?

OLIVIA: Okay, we have to wait till morning for the court order to have Walter released.

PETER: But then he's out.

OLIVIA: I promise. And I'm sorry and obviously you were right.

PETER: No, this was Walter's choice.

OLIVIA: Okay. So if you want to go down to reception, someone can arrange a ride and then at least one of us can get some sleep.

PETER: The woman who abducted Ben - Joanne Ostler - up until now everybody thought she was dead right?

OLIVIA: Yeah.

PETER: Well she's been walking around for the last ten years, she must have been using somebody's name.

OLIVIA: We didn't get any hits on an alias search.

PETER: What'd you base the search on?

OLIVIA: On the anagrams. Like combinations of different family names. It's what most people use if they want to change their identity.

PETER: Thanks, I know that. I've done this once or twice myself.

OLIVIA: Why doesn't that surprise me?

PETER: The best lie - the one that's easiest to remember with consistency - is the one that's based on the truth. Whenever I would do this, I would base it on my own last name. Bishop. So Peter King. Peter Knight.

OLIVIA: Well, that's a great idea if your last name is as simple as Bishop. What do you do when it's Ostler?

PETER: Is there a computer around here I could use?

(Peter works at computer)

OLIVIA: (on telephone) This is a serial abductor so she's smart. She's probably switched cars since then. I want a record of every stolen car from the last 36 hours.

PETER: (to unindentifed person) Hey, where does this print? (person motions) Thanks.

OLIVIA: Every gas station from Middletown to Rochester, and pull all the credit card receipts.

PETER: "Ostler"--Middle English for "innkeeper."

OLIVIA: (on cell phone) Hold on. (to Peter) Middle English?

PETER: The point is "innkeeper" got me to hotels, so I cross-indexed last names that match hotels with her first name.

OLIVIA: Joanne Ritz.

PETER: No photo - just a P.O. Box in Clarksburg.

OLIVIA: P.O. Box?

PETER: Criminals don't really like people like you knowing where they live.

OLIVIA: (on cell phone) Can you expand the grid search for Ben Stockton to Clarksburg?

Mom Gets Hurt in the Basement

JOANNE OSTLER: What is it, Ben? What's wrong?

BEN STOCKTON: I...I don't see it.

ABBY STOCKTON: It's okay, Bean. You're doing great, Honey.

BEN STOCKTON: I can't. I don't know how it ends. (Blood drips onto piano keys) Mom.

ABBY STOCKTON: No.

ABBY STOCKTON: (to Ostler) Please I don't want to go away.

JOANNE OSTLER: Well, that's up to Ben isn't it?

BEN STOCKTON: Mom!

BEN STOCKTON: (to Ostler) Stop! What are you doing to her?!

JOANNE OSTLER: If you lose her again, you'll only have yourself to blame.

BEN STOCKTON: (screams) Mom!

St. Claire's - A Balcony

WALTER: I'm sorry I upset you last night.

DASHIELL KIM: Go away.

WALTER: There's a little boy out there. He's in trouble. We're his only hope.

DASHIELL KIM: I don't want to talk about math Walter.

WALTER: Okay, okay. I don't need to talk about the equation. I need to know about the woman, where she took you.

DASHIELL KIM: You're wrong. There was no woman.

WALTER: Dashiell, if you don't, the boy... he'll end up like us.

DASHIELL KIM: Walter please. I can't!

WALTER: Yes, you can.

DASHIELL KIM: It was so beautiful. She promised me things. What I wanted most of all, but when I couldn't solve the equation, she took it away. Everything she promised. It was all a lie...

(flashes of Ben with a harness on his head, playing a keyboard and trying to solve the Equation for Ostler)

DASHIELL KIM: ... none of it was real. She hurt me. She put me in a dungeon. She filled my mind with images of the people I loved... and then tortured them ripping them apart all the while trying to suck the answers she wanted out of my head. But I couldn't - I couldn't give her what she wanted.

WALTER: Where were you, Dashiell?

DASHIELL KIM: I told you a dungeon.

WALTER: No! No! No! Not some fantasy you nitwit. Where were you really?

DASHIELL KIM: Dungeon! A dungeon in a red castle!

WALTER: You listen. You answer me. Don't you understand? No listen. This is the only way we'll find him.

DASHIELL KIM: None of it happened. It was just a dream. Just a bad dream.

St. Claire's - Peter Cautions Sumner

BRUCE SUMNER: You're making a terrible mistake. Despite whatever strings you've managed to pull, your father is not mentally fit to be released from this hospital.

PETER: Thanks for the advice. My personal assessment is that he's safer with me than he is with you. He may not be the picture of sanity, but yesterday when I saw him come through that door, I saw him change. He was afraid.

BRUCE SUMNER: So what are you saying? Are you saying that I somehow Managed to intentionally harm him? Office of Homeland Security? How'd you pull this off?

PETER: Meaning?

BRUCE SUMNER: Meaning that since you were here last. I learned a little bit about you. Enrolling at M.I.T. based on fraudulent credentials. Starting businesses and failing, and then running away from the consequences.

PETER: Do you have a point?

BRUCE SUMNER: You are not a fit guardian for Walter and I'm going to petition the state to have him removed from your custody.

PETER: Excuse me?

BRUCE SUMNER: Whether you're willing to recognize it or not - Walter is a danger... both to himself and to others.

PETER: Then I guess the apple doesn't fall far from the tree. 'Cause you may think you know what he's capable of, but you have no idea what I'm capable of.

BRUCE SUMNER: Are you threatening me?

PETER: I'd like to see my father now.

BRUCE SUMNER: Uh-huh.

(at the security gate)

PETER (to Walter): Walter? Are you okay?

WALTER: I'd like to go now.

PETER: Of course, we'll go right now.

WALTER: I've - I've failed. It was all for nothing. Dashiell went on and on like an incoherent loon about being taken to dungeons and red castles. Son, is that what it's like to talk to me?

PETER: Walter... let's go home.

Door-to-door in Clarksburg, MA

CHARLIE: Excuse me ma'am, I'm Special Agent Francis with the FBI. I was wondering if you'd seen this boy. His name's Ben Stockton. He's ten years old.

WOMAN AT DOOR: No, I'm sorry. What happened to him?

OLIVIA: (answering cell phone) This is Dunham.

PETER: (leaving St. Claire's) Hey it's me. I want you to know he's out.

OLIVIA: Oh good! How's he doing?

PETER: Yeah he's okay, but I hope you got a lead there because this was a total bust.

OLIVIA: I'm sorry. So he wasn't able to connect with Dashiell?

PETER: No, he's taking it pretty hard. He's beatin' himself up pretty good.

OLIVIA: Did he get anything?

PETER: He just said the guy was babbling on talking about red castles and dungeons. He did what he could.

OLIVIA: I - I'm just glad he's okay.

PETER: Yeah, me too.

OLIVIA: And if any red castles appear, I'll let you know.

PETER: Sure.

(Olivia turns and sees a large red building behind some trees)

ACT V

In the "Red Castle"

CHARLIE: It's not a drawbridge but it's close.

OLIVIA: This place looks like it hasn't been used for a while.

CHARLIE: (on cell phone) It's Francis. Could you pull up a property search on an address for me?

OLIVIA: Charlie.

CHARLIE: Yeah.

OLIVIA: I think I found something. (a ladder well)

(Charlie and Olivia climb down and then into separate hallways)

CHARLIE: Watch yourself.

(Olivia locates a room and sees Ben)

OLIVIA: (to herself) Oh, thank god. (to Ben) You're going to be okay.

(Ostler enters the room and attacks Olivia. after the two fall to the ground, Ostler flees down the corridor. Olivia follows and orders her to stop)

OLIVIA: Stop! Put your hands in the air!

(Ostler uses a remote control to activate a green-green-green-red sequence of lights to hypnotize Olivia)

CHARLIE: (startling her) You okay?

OLIVIA: She was just there.

The Bishop's Hotel Room

PETER: Nice to be home right?

WALTER: This place is filthy. Did you have a party while I was gone?

PETER: No Walter I didn't have a party.

WALTER: I don't want you to take this the wrong way, but I need space.

PETER: Oh?

WALTER: Sorry to spring this on you so suddenly but... these quarters are very cramped. I think I am ready for my own room.

PETER: That's - that's not a problem. I can talk to Olivia tomorrow about getting you some on-campus housing.

WALTER: That would be very beneficial.

PETER: You know what you did by going back into that place was very, very brave, Walter.

WALTER: (quietly) Thank you son.

In a Remote Compound

JOANNE OSTLER: Got it. Now let's see if it really does what you said it would.

(Loeb attaches a device to a safe and places an apple inside the safe)

MITCHELL LOEB: Where's the equation?

JOANNE OSTLER: Seems crazy that some numbers can make a machine like this work.

MITCHELL LOEB: Look around your house your office, your kitchen - numbers make everything work. Here we go.

(Loeb dons a glove and, with some effort, reaches through the solid back wall of the safe and removes the apple)

JOANNE OSTLER: It worked. That's incredible.

(Loeb kills Ostler with a pistol and takes a bite of the apple)

MITCHELL LOEB: (on cell phone) It worked.

The Stocktons Meet at the Federal Building

OLIVIA: Ben, are you hungry? 'Cause there's a vending machine in the hall - I've got a roll of quarters.

BEN: No, I'm okay. Thanks.

OLIVIA: Sure?

BEN STOCKTON: Mm-hmm.

JEREMY STOCKTON: (finds his son waiting) Ben?

BEN STOCKTON: Dad?

JEREMY STOCKTON: Ben!

BEN STOCKTON: Dad!

BROYLES: Release forms. As soon as he signs they're free to go.

OLIVIA: Yeah, uh, maybe we should just let them, uh, have a minute. Now I really need to call Peter and Walter. After what Walter went through, he'll be happy to know that Ben's alright.

BROYLES: Good work.